Bonjour,
Le vendredi 6 juillet 2007,Il était 22h30 il faisait nuit, mes phares étaient allumés, les lampadaires aussi.
Je circulais sur une route à double sens de circulation, dans un tournant, un piéton a surgit à la dernière seconde devant mon véhicule. Cette personne était cachée dans les arbres situés entre la contre-allée et l'accotement.
Il a été prouvé qu'il était en état d'ébriété. Sa voiture était garée sur la contre-allée derrière les arbres.
ll s'est précipité au milieu de ma voie de circulation, positionné comme ceci : les genoux un peu pliés, le torse parallèle à la route et les bras en avant.
Je sortais d'une ville avec une limitation de 50 kms/h.
Cette route est limitée à 70 kms/h. Je roulais donc entre ces deux vitesses.
La gendarmerie à constaté avec l'appui de l'éthylotest que je n'avais pas bu. Je n'avais consommé aucune substance illicite.
Je n'ai donc rien pu faire pour l'éviter car il a surgit à la dernière seconde.
Mais j'ai freiné énergiquement dès que je l'ai apperçu pour éviter le contre-accident.
J'ai coupé immédiatement le contact de mon véhicule, et me suit approché de lui pour constater son état.
Puis j'ai appelé le 112 en situant l'accident, comment cela s'était produit et l'état de la personne.
Les pompiers sont donc arrivés. Puis la gendarmerie. Ces derniers (un homme et une femme) m'ont donc fait souffler dans l'éthylotest. La femme m'a aussi dit:"il m'a reconnu, il a des problèmes de couple".
Puis la police est arrivée pour faire le constat (puisque c'est la police qui s'occupe de gérer les affaires de cette ville).
La personne a été transportée à l'Hôpital aux urgences.
Et quelqu'un m'a ramenée chez moi. Pour que mon ami puisse ramener ma voiture.
Le lendemain samedi (7/07), je suis allée au poste de police à la brigade des accidents, faire ma déposiion.
Au final, aux vus de l'heure, du lieu et des circonstances, cet acte m'a fait penser à un suicide.
Dans la semaine suivante le policier m'a appris qu'il avait pu contacter son frère et celui-ci a confirmé les problèmes de couple.
Le même policier avait convoqué le vendredi 13 juillet le père de la personne (car la personne vit chez lui); hors le policier n'a pas vu le père.
La police n'a pu auditionner la personne qu'aujourd'hui (mercredi 18 juillet).
La personne à donné une version "cohérente" pour la police, mais différente de la mienne. Il n'a pas apprécié d'entendre parler de suicide.
Et pour lui, il était en état d'ébriété, mais il faisait pipi sur l'accotement, et il a pu faire un écart...
Je suis donc convoquée demain vendredi 20 juillet à 8h pour une confrontation avec cette personne.
Que me conseillez-vous de faire :
dois-je porter plainte, que puis-je avoir comme preuves en ma faveur?
Merci de prendre en compte mon problème et de me répondre rapidement
accident de la route
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