Bonjour messieurs,
Pour ma part, le tout est de savoir si ce que dit Aléa:"Nous sommes bien d'accord que lorsque le judiciaire se prononce en condamnant après le jugement DEFINITIF favorable de l'administratif il commet une erreur de droit. Le judiciaire ne peut condamner après une décision définitive du TA si ce dernier a annulé l'annulation du permis".
Et sans vouloir remettre en doute vos compétences à tout deux, qui sont acquises me concernant. Est-ce que des cas similaires vous ont été relatés?
Je vous pose cette question car tout est compliqué et sans certitude encore une fois car j'ai le sentiment que le facteur humain ne prend pas l'ascendant sur le droit proprement dit. Je pense aux juges lorsque je dit ça: leurs humeurs. Leurs directives inflexibles.
Autre chose: Voici une réflexion. Et si vous le souhaitez et ne vous sentez pas obligé de la faire, mais j'aimerai savoir votre sentiment. Ni voyez pas là une remise en cause quelle qu'elle soit. Avec toute l'aide que vous m'avez apportée, votre avis m'interresse.
Je sais bien qu'on s'appuie sur le droit et non la moral, mais la vie de tout les jours et ses difficultés sont des facteurs non négligeables. De plus le retrait du permis est un outil de travail tous secteurs confondus.
Le retrait de ce même permis est un allé simple vers la détresse sociale, appelé joliment:"
la précarité ".
J'en pense même que toute la procédure d'opposition à une 48SI est volontairement longue et compliquée. Afin de soumettre les contrevenants à ce décourager.
