Inobservation de l'arrêt absolu imposé par le panneau "
Publié : ven. oct. 06, 2006 3:13 pm
Bonjour,
Au début du mois de mai 2006, ma femme a été convoquée à la gendarmerie pour une infraction qu'elle aurait commise le 11 février 2006 (soit trois mois avant...). Après avoir dit aux gendarmes qu'à cette date il y avait de fortes chances que j'ai été au volant du véhicule, je me suis présenté pour donner ma version des faits. Je n'aurais selon eux pas effectué un arrêt absolu imposé par un panneau "stop", ce que j'ai contesté aussitôt (je me souviens très bien n'être passé qu'une seule fois à l'heure dite à cet endroit sur les quatre ou cinq fois possibles et surtout je me souviens des gendarmes sur ma droite, postés à dix ou vingt mètres du fameux stop et qui n'étaient aucunement cachés). Lorsque j'ai demandé pourquoi je n'avais pas été arrêté aussitôt, on m'a répondu qu'ils n'étaient pas là pour ça (ils étaient en opération MILAN) et que si je reconnaisais l'infraction, je ne paierai que 90 € (en plus des quatre points retirés). Ce que j'ai bien entendu refusé de faire. Mal m'en a pris puisque maintenant je suis condamné à payer 225 € et 22 € de frais de procédure (mais pas de points retirés me semble-t'il). J'ai trente jours pour contester la décision rendue.
Si je choisis cette solution, quels sont les risques (augmentation de l'amende, perte de points...) ?
Autre question : ont'ils le droit de procéder de la sorte, c'est-à-dire relever une soit disante infraction (je certifie m'être arrêté mais ma parole a beaucoup moins de poids que celle d'un gendarme j'en suis conscient), ne la signifier à la personne concernée que quelques semaines plus tard et contrairement à un excès de vitesse par exemple (la sanction immédiate ou à défaut une photo de l'infraction) n'apporter aucune preuve si ce n'est le fait que le gendarme soit assermenté donc absolument pas menteur contrairement à moi... ?
Au début du mois de mai 2006, ma femme a été convoquée à la gendarmerie pour une infraction qu'elle aurait commise le 11 février 2006 (soit trois mois avant...). Après avoir dit aux gendarmes qu'à cette date il y avait de fortes chances que j'ai été au volant du véhicule, je me suis présenté pour donner ma version des faits. Je n'aurais selon eux pas effectué un arrêt absolu imposé par un panneau "stop", ce que j'ai contesté aussitôt (je me souviens très bien n'être passé qu'une seule fois à l'heure dite à cet endroit sur les quatre ou cinq fois possibles et surtout je me souviens des gendarmes sur ma droite, postés à dix ou vingt mètres du fameux stop et qui n'étaient aucunement cachés). Lorsque j'ai demandé pourquoi je n'avais pas été arrêté aussitôt, on m'a répondu qu'ils n'étaient pas là pour ça (ils étaient en opération MILAN) et que si je reconnaisais l'infraction, je ne paierai que 90 € (en plus des quatre points retirés). Ce que j'ai bien entendu refusé de faire. Mal m'en a pris puisque maintenant je suis condamné à payer 225 € et 22 € de frais de procédure (mais pas de points retirés me semble-t'il). J'ai trente jours pour contester la décision rendue.
Si je choisis cette solution, quels sont les risques (augmentation de l'amende, perte de points...) ?
Autre question : ont'ils le droit de procéder de la sorte, c'est-à-dire relever une soit disante infraction (je certifie m'être arrêté mais ma parole a beaucoup moins de poids que celle d'un gendarme j'en suis conscient), ne la signifier à la personne concernée que quelques semaines plus tard et contrairement à un excès de vitesse par exemple (la sanction immédiate ou à défaut une photo de l'infraction) n'apporter aucune preuve si ce n'est le fait que le gendarme soit assermenté donc absolument pas menteur contrairement à moi... ?