Assuré VS expert et assureur : gagné... mais à quel prix !
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Ce forum accueille les discussions suivantes: assurances automoto, constat, accident responsable, formule tiers ou tous risques, achat et vente de véhicule d'occasion, par réseau de concessionnaires, garagistes ou annonces entre particuliers, bonus-malus, vice caché, revente, expertise auto...
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Re: Expert et assureur se liguent contre l'assuré : Que fair
Si le courtier local s'amuse avec les deux autres, il est donc inutile de lui envoyer le moindre courrier, sauf un pour le prévenir que votre fille gère maintenant son dossier avec le siège...
Il n'a pas fini de recevoir des appels de la métropole, ce courtier !!!
Si contact il doit y avoir, tout doit maintenant se faire par courrier, mails ou fax (traces écrites).
Il n'a pas fini de recevoir des appels de la métropole, ce courtier !!!
Si contact il doit y avoir, tout doit maintenant se faire par courrier, mails ou fax (traces écrites).
Re: Expert et assureur se liguent contre l'assuré : Que fair
Bonsoir.
Aïe, je n'ai pas vu plus tôt votre message car le forum a été déclaré spam par ma messagerie !
Je sors de 3 jours totalement consacrés au montage des courriers ; obligé de tout revoir, cause rebondissement : l'assureur a tiré le premier en envoyant une lettre très langue de bois à laquelle il fallait répondre point par point.
J'y reviens demain. C'est infernal !
Vous dites courtier, c'est un raccourci ; je sais que vous avez compris qu'il s'agit d'un "chargé local de la gestion des dossiers sinistre" d'une grande compagnie d'assurance présente sur tout le territoire, métropole et DOM-TOM ; moi, j'utilise le raccourci "assureur", ce qui peut prêter à confusion pour ceux qui ne peuvent tout lire depuis le début.... J'essaierai de faire plus clair.
Oui, je souhaite qu'il reçoive ces appels. Il devra y répondre même si ce n'est pas sa plage horaire (9h-12h, 4 jours par semaine ; super quand vous bossez).

Je sors de 3 jours totalement consacrés au montage des courriers ; obligé de tout revoir, cause rebondissement : l'assureur a tiré le premier en envoyant une lettre très langue de bois à laquelle il fallait répondre point par point.
J'y reviens demain. C'est infernal !
Bonsoir.Jeanmi a écrit :......Il n'a pas fini de recevoir des appels de la métropole, ce courtier !!!
.....
Vous dites courtier, c'est un raccourci ; je sais que vous avez compris qu'il s'agit d'un "chargé local de la gestion des dossiers sinistre" d'une grande compagnie d'assurance présente sur tout le territoire, métropole et DOM-TOM ; moi, j'utilise le raccourci "assureur", ce qui peut prêter à confusion pour ceux qui ne peuvent tout lire depuis le début.... J'essaierai de faire plus clair.
Oui, je souhaite qu'il reçoive ces appels. Il devra y répondre même si ce n'est pas sa plage horaire (9h-12h, 4 jours par semaine ; super quand vous bossez).
Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien. Edmund Burke
Re: Expert et assureur se liguent contre l'assuré : Que fair
C'est pas grave qu'il envoi en premier un courrier !!! Enfin , il était temps d'avoir enfin un écrit...
Envoyez quand même vos courriers préparés car cela ne change rien à ce qu'il s'est passé avant...
Est ce que votre fille a demandé par mail ou courrier RAR la copie de rapport modifié pour la VRADE et le devis ???
Envoyez quand même vos courriers préparés car cela ne change rien à ce qu'il s'est passé avant...
Est ce que votre fille a demandé par mail ou courrier RAR la copie de rapport modifié pour la VRADE et le devis ???
Re: Expert et assureur se liguent contre l'assuré : Que fair
Bonjour.
Je reviens en espérant ne pas vous lasser, vu le nombre de sujets beaucoup plus graves ouverts sur ce forum.
Le rebondissement.
J'étais en train de compléter le projet de courrier de ma fille destiné au chargé de dossier sinistre de l'assureur lorsque le 24/04 il laisse un message (encore le téléphone...) demandant le rappel URGENT suite à un mail que lui a retransmit le siège à Paris.
En fait, c'était le petit mail (1000 caractères maxi – dur dur d'être concis) que j'avais réussi à déposer le 19/04 sur la page de contact du site internet de l'assurance, parce que les n°s de sociétaire de mes enfants n'étaient pas reconnus, le mien OUI (et où ils promettent de répondre sous 48h....).
Cela sentait le roussi. J'ai alors cassé mes 10 pages de description chronologique des 12 semaines passées depuis l'accident, précisant les incartades à la réglementation et rapportant poliment les âneries racontées, etc... pour refaire en urgence quelque chose de plus concis, basé uniquement sur les éléments concrets (les documents erronés et incomplets) et les délais énormes de réaction et qui serait adressé à ce "chargé de dossier sinistre" et au siège.
Le 25/04, alors que c'était quasiment prêt à poster, ma fille reçoit une lettre de ce "personnage" dont le contenu très langue de bois dit que tout se passe normalement, les contacts sont fréquents, etc... et qui laisse entendre qu'elle abuse à demander des réévaluations à tout va et que l'expert a donné suite à ses demandes en envoyant un "nouveau rapport"! Et le pire : il dit que l'expert et le réparateur attendent qu'elle donne son feu vert pour réparer !
Alors que ce qui la bloque, c'est leur refus mutuel de nous transmettre le devis et du côté assureur, l'engagement écrit que tous les frais seront pris en charge, même si au-dessus de la VRADE (non responsabilité).
En fait, le nouveau rapport venait juste d'être envoyé par l'expert (par mail) parce qu'au petit matin de ce 24/04, mon gendre a poussé un coup de gueu... pour le devis bloqué. L'expert prétendant lui avoir envoyé le 04/04 un courrier avec un nouveau rapport et qu'il n'a jamais reçu, il a exigé le renvoi immédiat dudit rapport. Il n'a pas pensé à demander la copie de ce courrier fantôme... Et bien sûr, pas de réponse sur le devis !
L'assureur a donc utilisé cette coïncidence inopinée pour en tirer profit dans sa réponse !
La seule nouveauté de ce rapport est qu'il indique une revalorisation de la VRADE de 20% , ce qui représente la différence entre la valeur catalogue Métropole prise par l'expert et le montant de la facture du véhicule importé à La Réunion, facture (copie) que l'expert avait égarée pendant 15 jours !!!
Malgré la réception de cette lettre du chargé de dossier sinistre, on a réussi à ne pas casser la nouvelle mouture de la lettre qu'on tenait tant à transmettre. On l'a terminée par un PS précisant qu'une réponse serait donnée à sa lettre du 24/04, et on l'a postée le 26/04 (vendredi) en RAR. Puis on s'est attaqué à la réponse à sa propre lettre. Elle est partie aujourd'hui (lundi 29/04) et demain, c'est la lettre au service réclamations du siège de l'assurance qui part avec tous les courriers depuis l'accident (les 2 de l'expert –- la déclaration VGE du 14/02 et la conclusion d'expertise du 14-03 --, celle du chargé de dossier et les 2 nôtres).
Certes tardivement mais c'est fait, le pavé a été jeté dans la mare. Nous verrons les retombées. En attendant, la consigne est : plus de réaction aux appels téléphoniques, éventuellement aux mails (sauf que jamais eu de mails "rédigés", que de l'envoi de document).
A moins que le devis tant désiré arrive !
Dans le courrier adressé au siège (et au chargé local), nous demandons une réponse ferme quant à la fin de mission de cet expert qui va bien au-delà de ce que le mandat de l'assureur lui demandait : "pondre" un rapport d'expertise chiffré et conformes aux caractéristiques du véhicule et aux dégâts apparents AVANT démontage.
Ben non, il en fait PLUS !
- Accident le 01/02, expertise bâclée le 07/02 pour pouvoir vite fait déclarer le VGE aux autorités qui confirment par courrier du 14/02, le même jour que l'édition de son pré-rapport délirant.
- Exige le 25/02 la signature d'un mandat de mission expertise VGE et d'un OR transformé en autorisation de démontage.
- Fait démonter le véhicule inutilement et refait une expertise le 08/03 pour pouvoir sortir un rapport d'expertise final le 14/03 avec une VRADE calculée de façon honteuse (pas demandé la facture et pris le tarif métropole) et une estimation des réparations qui a quasiment doublé et qui à ~100 € sous la VRADE.
- Sous la pression revoit sa VRADE (+ 20%) et réédite un rapport d'expertise en conséquence, sans changer la date (14/03) mais passé au nom du patron du cabinet d'expertise et sans corriger aucune des erreurs constatées dessus ; ce rapport nous parvient le 24/04.
- Entretemps, le réparateur envoie le devis à l'expert au lieu de nous l'envoyer et ces deux personnages refusent de nous le transmettre.
C'EST DU CONCRET ! Et il n'y a pas les paroles !
Mais vu par quelqu'un qui ne connait pas le contexte, tout cela est le cheminent normal d'une expertise, un peu lent mais normal, si on excepte la rétention des devis.
On sent que l'expert ne veut pas lâcher le morceau. En embrouillant l'affaire, on ne sait plus si on est encore dans la 1ère phase de la procédure VGE (celle d'expertise sur ordre de l'assureur) ou déjà dans la 2ème phase (réparation avec suivi par expert de l'assuré). Il considère comme acquise à son bénéfice la mission de suivi réparation que mes enfants, "trompés", lui ont signé le 25/02 alors qu'il a encore envoyé le 24/04 un rapport d'expertise ayant trait à sa mission initiale (celle de l'assurance).
J'ai vu sur le net (site officiel d'un organisme public) qu'une expertise (initiale) était tarifée 80 € (2012) à l'assurance. Je comprends mieux pourquoi c'est bâclé.... Je suppose que celle du suivi rapporte plus et qu'il veut se l'attribuer.
Pour lui, elle est acquise et pour le chargé de dossier de l'assureur, elle l'est aussi puisqu'il écrit dans sa lettre que l'expert et le garagiste attendent notre accord pour commencer à réparer.
Voici d'ailleurs la réponse qui lui a été faite sur ce point dans la lettre de ce matin :
Édité suite à réponse donnée pendant saisie du message ci-dessus
Comme précisé ci-dessus, blocage total du devis ! OK, on va faire une demande écrite par mail ou lettre RAR au chef d'atelier du carrossier, uniquement, puisque hélas, c'est lui qui a dit qu'il l'avait envoyé à l'expert mais l'expert ne nie ni ne confirme l'avoir reçu.... Désarmant !
Le rapport modifié a enfin été obtenu mais il a fallu insister....
La rubrique "Valeur neuve" a été renseignée : 20850 € ! Il vient encore de se "planter", la facture indiquait 20250 €......
La rubrique "VRADE" a été mise à jour : 8500 € --> 10200 € (rappel de l'estimation des réparations : 8390 €).
La mention "Compte tenu de la déformation de la caisse au niveau du plancher déconseillons la réparation" a été ajoutée.
Nous continuons notre démarche de faire réparer. Mais jusqu’à quel point cela reste-t-il-raisonnable ?
Nous attendons les réactions aux courriers qui ne devraient pas tarder du côté réunionnais.
Je reviens en espérant ne pas vous lasser, vu le nombre de sujets beaucoup plus graves ouverts sur ce forum.
Le rebondissement.

En fait, c'était le petit mail (1000 caractères maxi – dur dur d'être concis) que j'avais réussi à déposer le 19/04 sur la page de contact du site internet de l'assurance, parce que les n°s de sociétaire de mes enfants n'étaient pas reconnus, le mien OUI (et où ils promettent de répondre sous 48h....).
Cela sentait le roussi. J'ai alors cassé mes 10 pages de description chronologique des 12 semaines passées depuis l'accident, précisant les incartades à la réglementation et rapportant poliment les âneries racontées, etc... pour refaire en urgence quelque chose de plus concis, basé uniquement sur les éléments concrets (les documents erronés et incomplets) et les délais énormes de réaction et qui serait adressé à ce "chargé de dossier sinistre" et au siège.
Le 25/04, alors que c'était quasiment prêt à poster, ma fille reçoit une lettre de ce "personnage" dont le contenu très langue de bois dit que tout se passe normalement, les contacts sont fréquents, etc... et qui laisse entendre qu'elle abuse à demander des réévaluations à tout va et que l'expert a donné suite à ses demandes en envoyant un "nouveau rapport"! Et le pire : il dit que l'expert et le réparateur attendent qu'elle donne son feu vert pour réparer !
Alors que ce qui la bloque, c'est leur refus mutuel de nous transmettre le devis et du côté assureur, l'engagement écrit que tous les frais seront pris en charge, même si au-dessus de la VRADE (non responsabilité).

L'assureur a donc utilisé cette coïncidence inopinée pour en tirer profit dans sa réponse !
La seule nouveauté de ce rapport est qu'il indique une revalorisation de la VRADE de 20% , ce qui représente la différence entre la valeur catalogue Métropole prise par l'expert et le montant de la facture du véhicule importé à La Réunion, facture (copie) que l'expert avait égarée pendant 15 jours !!!
Malgré la réception de cette lettre du chargé de dossier sinistre, on a réussi à ne pas casser la nouvelle mouture de la lettre qu'on tenait tant à transmettre. On l'a terminée par un PS précisant qu'une réponse serait donnée à sa lettre du 24/04, et on l'a postée le 26/04 (vendredi) en RAR. Puis on s'est attaqué à la réponse à sa propre lettre. Elle est partie aujourd'hui (lundi 29/04) et demain, c'est la lettre au service réclamations du siège de l'assurance qui part avec tous les courriers depuis l'accident (les 2 de l'expert –- la déclaration VGE du 14/02 et la conclusion d'expertise du 14-03 --, celle du chargé de dossier et les 2 nôtres).
Certes tardivement mais c'est fait, le pavé a été jeté dans la mare. Nous verrons les retombées. En attendant, la consigne est : plus de réaction aux appels téléphoniques, éventuellement aux mails (sauf que jamais eu de mails "rédigés", que de l'envoi de document).
A moins que le devis tant désiré arrive !

Ben non, il en fait PLUS !
- Accident le 01/02, expertise bâclée le 07/02 pour pouvoir vite fait déclarer le VGE aux autorités qui confirment par courrier du 14/02, le même jour que l'édition de son pré-rapport délirant.
- Exige le 25/02 la signature d'un mandat de mission expertise VGE et d'un OR transformé en autorisation de démontage.
- Fait démonter le véhicule inutilement et refait une expertise le 08/03 pour pouvoir sortir un rapport d'expertise final le 14/03 avec une VRADE calculée de façon honteuse (pas demandé la facture et pris le tarif métropole) et une estimation des réparations qui a quasiment doublé et qui à ~100 € sous la VRADE.
- Sous la pression revoit sa VRADE (+ 20%) et réédite un rapport d'expertise en conséquence, sans changer la date (14/03) mais passé au nom du patron du cabinet d'expertise et sans corriger aucune des erreurs constatées dessus ; ce rapport nous parvient le 24/04.
- Entretemps, le réparateur envoie le devis à l'expert au lieu de nous l'envoyer et ces deux personnages refusent de nous le transmettre.
C'EST DU CONCRET ! Et il n'y a pas les paroles !
Mais vu par quelqu'un qui ne connait pas le contexte, tout cela est le cheminent normal d'une expertise, un peu lent mais normal, si on excepte la rétention des devis.
On sent que l'expert ne veut pas lâcher le morceau. En embrouillant l'affaire, on ne sait plus si on est encore dans la 1ère phase de la procédure VGE (celle d'expertise sur ordre de l'assureur) ou déjà dans la 2ème phase (réparation avec suivi par expert de l'assuré). Il considère comme acquise à son bénéfice la mission de suivi réparation que mes enfants, "trompés", lui ont signé le 25/02 alors qu'il a encore envoyé le 24/04 un rapport d'expertise ayant trait à sa mission initiale (celle de l'assurance).
J'ai vu sur le net (site officiel d'un organisme public) qu'une expertise (initiale) était tarifée 80 € (2012) à l'assurance. Je comprends mieux pourquoi c'est bâclé.... Je suppose que celle du suivi rapporte plus et qu'il veut se l'attribuer.
Pour lui, elle est acquise et pour le chargé de dossier de l'assureur, elle l'est aussi puisqu'il écrit dans sa lettre que l'expert et le garagiste attendent notre accord pour commencer à réparer.
Voici d'ailleurs la réponse qui lui a été faite sur ce point dans la lettre de ce matin :
- Concernant l'attente de l'expert d'une action de notre part, je vous saurais gré de m'expliquer quel rôle aurait-t-il encore à jouer dans la mise en réparation de notre véhicule puisqu'il vient de nous transmettre un nouveau rapport qui, bien qu'erroné et incomplet, clôture en principe la mission d'expertise que la xxx(assurance) lui a confiée.
- A la lecture de ma lettre du 25/04/2013, vous comprendrez que si nous avions obtenu ou si avait été fait au moment opportun :
- une confirmation écrite des modalités de prise en charge par la xxx(assurance) du coût des réparations,
- une VRADE calculée à partir des tarifs réunionnais et non des tarifs métropolitains,
- un rapport d'expertise prenant en compte les caractéristiques exactes de notre véhicule et la totalité des dégâts apparents sans démontage,
nous n'en serions pas arrivés à la situation actuelle.
Pour ne pas se voir reprocher "de manigancer dans son dos" (ce qu'il fait contre nous, lui), ce chargé de dossier sinistre est le destinataire principal de la lettre décrivant TOUT ce qui n'a pas fonctionné "normalement" et il est prévenu qu'une copie part au siège. Par cette lettre, il ne pourra plus se retrancher derrière l'ignorance des faits et gestes décrits. Et très logiquement, il est le destinataire de la réponse à sa lettre avec annonce que la copie part aussi au siège.Jeanmi a écrit :Si le courtier local s'amuse avec les deux autres, il est donc inutile de lui envoyer le moindre courrier, sauf un pour le prévenir que votre fille gère maintenant son dossier avec le siège.......l
Édité suite à réponse donnée pendant saisie du message ci-dessus
Merci Jeanmi pour votre réponse.Jeanmi a écrit :C'est pas grave qu'il envoi en premier un courrier !!! Enfin , il était temps d'avoir enfin un écrit...
Envoyez quand même vos courriers préparés car cela ne change rien à ce qu'il s'est passé avant...
Est ce que votre fille a demandé par mail ou courrier RAR la copie de rapport modifié pour la VRADE et le devis ???


La rubrique "Valeur neuve" a été renseignée : 20850 € ! Il vient encore de se "planter", la facture indiquait 20250 €......
La rubrique "VRADE" a été mise à jour : 8500 € --> 10200 € (rappel de l'estimation des réparations : 8390 €).
La mention "Compte tenu de la déformation de la caisse au niveau du plancher déconseillons la réparation" a été ajoutée.
Nous continuons notre démarche de faire réparer. Mais jusqu’à quel point cela reste-t-il-raisonnable ?
Nous attendons les réactions aux courriers qui ne devraient pas tarder du côté réunionnais.
Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien. Edmund Burke
Re: Expert et assureur se liguent contre l'assuré : Que fair
Bonjour. C'est bon, le courrier destiné à la compagnie d'assurance vole actuellement vers la métropole.
Je reviens pour un résumé de l'affaire et poser des questions concernant la procédure VE en espérant de généreuses réponses qui pourront éclairer aussi les visiteurs de mon sujet.
L'initiation de la procédure VE et le premier rapport d'expertise, cf. articles 3 et 4 de l'arrêté du 29/04/2009 et articles du code de la route associés.
Dans le courrier envoyé, sans prétendre que cela était la cause initiale de tous nos malheurs, j'ai signalé le non respect de la chronologie de la mise en place de la procédure VE pour montrer la façon dont l'expert interprète les textes réglementaires concernant sa profession.
Si j'ai bien compris, dans le cas d'un accident où l'expert intervient sur demande de l'assureur :
- Etape 1 -L'expert constatant qu'un élément de sécurité du véhicule est défectueux doit faire une déclaration aux autorités (Ministère de l'intérieur) et en adresser une copie au propriétaire.
- Etape 2 –L'expert établit un rapport contenant en annexe (uniquement si le véhicule est techniquement réparable) l'estimation descriptive et chiffrée des dommages apparents sans démontage ; ce rapport s'appelle "Premier rapport d'expertise". Il le transmet au propriétaire et aux autorités.
- Etape 3 – A réception de ce rapport, les autorités adressent un courrier au propriétaire pour lui signaler l'interdiction de circuler (véhicule dangereux) et le gel de sa carte grise (tant que le véhicule n'est pas réparé sous contrôle d'expert ou cédé à un professionnel).
Dans notre cas :
- Expertise effectuée le 07/02.
- Envoi par l'expert le 14/02 d'un courrier au propriétaire lui signalant que la dangerosité du véhicule a été déclarée aux autorités pour le motif LS3 (liaisons au sol) ; il précise que la réparation devra être suivie par un expert et il joint au courrier un formulaire de mandat prérempli le missionnant pour ce suivi mais il omet de joindre la copie de la déclaration transmise aux autorités (étape 1).
- Envoi par les autorités le 14/02 du courrier au propriétaire l'informant que l'expert leur a signalé la dangerosité du véhicule et qu'elles inscrivent une opposition au transfert de la carte grise (étape 3). Cela signifie que l'expert a bien envoyé un rapport d'expertise aux autorités (étape 2) mais aussi qu'il a omis d'envoyer ce rapport au propriétaire, puisque nous ne l'avons jamais reçu.
Ce courrier des autorités précise que la déclaration ou le rapport date du 07/02/2013 et qu'une copie du document nous a été transmise.
C'est indéniable : l'expert ne nous a rien envoyé ressemblant à sa déclaration faite au Ministère de l'intérieur => faute professionnelle ?
En effet, le pré-rapport que nous avons réussi à lui faire "cracher" le 22/02 et daté du 22/02 n'est pas la copie de la déclaration et/ou du rapport daté(e) du 07/02 envoyé(e) au Ministère de l'intérieur avant le 14/02.
Ce pré-rapport, incomplet, décrivant la réparation d'une 3 portes beige alors que c'est une 5 portes bleue (ce qui "justifie" qu'il n'ait pas vu la porte arrière défoncée), nous pensons qu'il était légitime de commencer à avoir quelques doutes sur le sérieux de cet expert ; la suite des événements prouvera que ce n'était que le début d'une galère interminable.
1- Question (pour info, pas de dénonciation prévue...) : Dans la pratique est-il courant que les experts zappent l'envoi de ces documents au propriétaire, alors que la réglementation le leur impose, et se limitent à la transmission aux autorités ?
2- Question : Dans la pratique, au lieu des documents prévus ci-dessus (la déclaration et une sorte de pré-rapport), les experts se limitent-ils à l'envoi au propriétaire du premier rapport d'expertise (au sens de l'arrêté du 29/04/2009, celui avant mise en réparation), c'est-à-dire celui établi à la fin de leur mission sous mandat de l'assureur.
Lorsque le 20/03, nous avons réussi à lui faire "lâcher" le rapport daté du 14/03 et pouvant être considéré comme le véritable "premier rapport d'expertise" du point de vue réglementaire, il a prétendu que "les gens" ne le demandent jamais et que ce rapport est envoyé à la fin des réparations....comme si la mission d'expertise suivi réparations lui était attribuée d'office, ce qui ne m'étonne pas puisqu'en envoyant dès son premier courrier le formulaire de missionnement pour le suivi de la réparation VE, il incite [duperie] le propriétaire à le signer et le renvoyer prématurément (comme mes enfants l'ont fait).
3- Question : Est-il courant (vu sur ce forum) que des experts refusent d'envoyer ce premier rapport d'expertise alors que l'article R326-3 du Code de la route le leur impose ?
4- Question : Déontologiquement parlant, le formulaire de missionnement pour l'expertise de suivi réparation VE ne devrait-il pas être envoyé qu'en pièce jointe à ce rapport d'expertise et pas avant, et en informant le propriétaire qu'il est libre de choisir un autre expert ?
Avant l'édition de la version finale du rapport, j'ai cru comprendre qu'il existait des versions intermédiaires qui évoluaient en fonction des visites d'expertise effectuées ou de la prise de connaissance d'informations complémentaires ; dans notre cas : constats d'accident non transmis à l'expert lors de sa 1ère visite d'expertise, facture d'achat véhicule remise après une autre visite, VRADE... mais il se trouve que deux versions de rapport datées du 14/03 coexistent.
5- Question : Le rapport évoluant pendant l'expertise, est-ce normal que sa datation ne soit pas toujours corrigée à chaque évolution ? Ces versions intermédiaires doivent-elles être transmises au propriétaire ? Quelles versions du rapport doivent être considérées comme "officielles" et traitées comme telle par l'assureur et communiquées au propriétaire sans qu'il soit obligé d'en faire la demande, conformément à la réglementation ?
6- Question : Est-ce exact qu'un démontage excessif peut rendre irrecevable une demande de contre-expertise (contestation VRADE par exemple) du fait que le véhicule n'est plus dans l'état où il était juste après l'accident ?
La mission d'expertise du suivi de réparation VE
Pour la partie réparation, tout est clairement expliqué ici : securite-routiere.gouv.fr : La procédure véhicule économiquement irréparable (VEI) et la procédure véhicule gravement endommagé (VGE).
Si j'ai bien compris, dans le cas où le propriétaire veut faire réparer sa voiture :
- Le propriétaire mandate un expert qui peut être autre que celui de la première expertise effectuée sous mandat de l'assurance.
- L'expert suit toutes les étapes de la réparation et fait effectuer le contrôle technique final puis rédige son rapport de fin de mission, le "Second rapport d'expertise", qu'il adresse aux autorités pour la levée de l'interdiction de circuler et de l'opposition au transfert de la carte grise et dont il remet une copie au propriétaire ainsi que, si ce dernier en fait la demande, la liste des réparations effectuées et l'origine des pièces remplacées.
Dans notre cas, je pense qu'il est légitime de considérer comme caduque le mandat pour l'expertise de suivi réparation VE qui a été signé le 25/02 par le propriétaire puisque la dernière mouture du rapport de l'expertise effectuée sous mandat de l'assureur n'a été remise que le 24/04.
Je suis certain que l'expert et l'assureur le considèrent toujours valide et donc utilisable pour le suivi des réparations à venir. D'ailleurs, dans son courrier du 24/04, l'assureur dit bien que l'expert (SON expert) attend le feu vert pour lancer la réparation.
7- Question : Est-on en droit de considérer qu'un tel mandat signé aussi prématurément n'a aucune valeur légale et donc considérer que le propriétaire est libéré de tout engagement avec cet expert ? Doit-on cependant informer officiellement l'assureur et l'expert actuel de ce point de vue personnel ?
Pour le suivi de la réparation, nous prendrons le risque de choisir un autre cabinet d'expertise au hasard. Je suppose qu'il faut le contacter et lui faire part du résultat de la première expertise et du nom du réparateur (on garde le même, on n'a pas le choix, vu l'historique). Il faudra sûrement lui indiquer quel expert est intervenu. Il sera libre de refuser et d'accepter la mission. Le problème qui se pose est sa relation avec l'assureur : paiement des honoraires et évaluation du coût réel des réparations, au cas où il aurait été mal évalué par le premier expert ou venait à monter au cours des réparations.
De plus, dans notre cas, en totale contradiction avec la réglementation, l'assureur prétend que l'expert que nous mandaterons pour le suivi des réparations sera à notre charge (confusion "volontaire"avec une contre-expertise).
8- Question : Est-ce que l'assureur, devant prendre en charge les honoraires de cet expert mandaté par nous, a un droit de regard sur leur montant ou/et les limiter à un certain plafond ? Si c'est le cas, faut-il lui demander son accord avant de mandater l'expert de notre choix ?
9- Question : Dans le cas où notre expert constaterait des erreurs de chiffrage dans le rapport délivré par le premier expert qu'il doit vérifier avec le réparateur avant d'autoriser le démarrage de la réparation OU si le coût des réparations venait à augmenter à cause de dégâts supplémentaires constatés lors de la réparation, comment devra-t-il en faire part à l'assureur : directement ou par notre intermédiaire ?
10- Question : Le véhicule étant actuellement économiquement réparable, s'il advenait que notre expert constate avant même de commencer les réparations que leur coût va finalement être supérieur à la VRADE, cet expert a-t-il le droit et/ou l'obligation de procéder à la déclaration VEI auprès des autorités ? De son côté, l'assureur aura-t-il encore le droit de proposer la cession du véhicule contre indemnisation (en principe le montant de la VRADE) alors qu'il ne l'avait pas fait à l'issue de la première expertise ? Ou est-il dans l'obligation de laisser la réparation s'engager et d'en supporter le coût intégralement ?
11- Question : Si une augmentation substantielle du coût apparaissait en cours de réparation jusqu'à en dépasser la VRADE, je suppose que notre expert n'a plus la possibilité de déclencher la procédure VEI mais l'assureur peut-il décider de stopper la réparation en vertu d'un seuil type RSV défini par la compagnie d'assurance ? (En gros, jusqu'où peut-il aller ? Est-il obligé d'aller jusqu'au bout de la réparation ?).
12- Question : Dans le cas où l'assureur a le droit de proposer la cession du véhicule au motif que la nouvelle estimation du coût des réparations faite par notre expert dépasse la VRADE, nous proposant une indemnité basée sur le montant de la VRADE que nous contesterions car insuffisante, notre expert est-il habilité à réévaluer la VRADE ou devront nous recontacter le premier expert (fournitures de ses éléments de calcul pour fonder notre contestation) alors qu'il n'aura plus de lien avec ce dossier ?
Un grand merci aux intervenants bénévoles sur ce site !!!
Je reviens pour un résumé de l'affaire et poser des questions concernant la procédure VE en espérant de généreuses réponses qui pourront éclairer aussi les visiteurs de mon sujet.
L'initiation de la procédure VE et le premier rapport d'expertise, cf. articles 3 et 4 de l'arrêté du 29/04/2009 et articles du code de la route associés.
Dans le courrier envoyé, sans prétendre que cela était la cause initiale de tous nos malheurs, j'ai signalé le non respect de la chronologie de la mise en place de la procédure VE pour montrer la façon dont l'expert interprète les textes réglementaires concernant sa profession.
Si j'ai bien compris, dans le cas d'un accident où l'expert intervient sur demande de l'assureur :
- Etape 1 -L'expert constatant qu'un élément de sécurité du véhicule est défectueux doit faire une déclaration aux autorités (Ministère de l'intérieur) et en adresser une copie au propriétaire.
- Etape 2 –L'expert établit un rapport contenant en annexe (uniquement si le véhicule est techniquement réparable) l'estimation descriptive et chiffrée des dommages apparents sans démontage ; ce rapport s'appelle "Premier rapport d'expertise". Il le transmet au propriétaire et aux autorités.
- Etape 3 – A réception de ce rapport, les autorités adressent un courrier au propriétaire pour lui signaler l'interdiction de circuler (véhicule dangereux) et le gel de sa carte grise (tant que le véhicule n'est pas réparé sous contrôle d'expert ou cédé à un professionnel).
Dans notre cas :
- Expertise effectuée le 07/02.
- Envoi par l'expert le 14/02 d'un courrier au propriétaire lui signalant que la dangerosité du véhicule a été déclarée aux autorités pour le motif LS3 (liaisons au sol) ; il précise que la réparation devra être suivie par un expert et il joint au courrier un formulaire de mandat prérempli le missionnant pour ce suivi mais il omet de joindre la copie de la déclaration transmise aux autorités (étape 1).
- Envoi par les autorités le 14/02 du courrier au propriétaire l'informant que l'expert leur a signalé la dangerosité du véhicule et qu'elles inscrivent une opposition au transfert de la carte grise (étape 3). Cela signifie que l'expert a bien envoyé un rapport d'expertise aux autorités (étape 2) mais aussi qu'il a omis d'envoyer ce rapport au propriétaire, puisque nous ne l'avons jamais reçu.
Ce courrier des autorités précise que la déclaration ou le rapport date du 07/02/2013 et qu'une copie du document nous a été transmise.

En effet, le pré-rapport que nous avons réussi à lui faire "cracher" le 22/02 et daté du 22/02 n'est pas la copie de la déclaration et/ou du rapport daté(e) du 07/02 envoyé(e) au Ministère de l'intérieur avant le 14/02.



Lorsque le 20/03, nous avons réussi à lui faire "lâcher" le rapport daté du 14/03 et pouvant être considéré comme le véritable "premier rapport d'expertise" du point de vue réglementaire, il a prétendu que "les gens" ne le demandent jamais et que ce rapport est envoyé à la fin des réparations....comme si la mission d'expertise suivi réparations lui était attribuée d'office, ce qui ne m'étonne pas puisqu'en envoyant dès son premier courrier le formulaire de missionnement pour le suivi de la réparation VE, il incite [duperie] le propriétaire à le signer et le renvoyer prématurément (comme mes enfants l'ont fait).
- Nota : Sur le site internet de l'ANEA et de nombreux cabinet d'expertise, la remise de ce premier rapport d'expertise n'est pas mentionnée. Tous considèrent que la mission initiale se poursuit avec le même expert pour le suivi réparation. Par contre, la remise du rapport concluant la réparation est bien indiquée.


Avant l'édition de la version finale du rapport, j'ai cru comprendre qu'il existait des versions intermédiaires qui évoluaient en fonction des visites d'expertise effectuées ou de la prise de connaissance d'informations complémentaires ; dans notre cas : constats d'accident non transmis à l'expert lors de sa 1ère visite d'expertise, facture d'achat véhicule remise après une autre visite, VRADE... mais il se trouve que deux versions de rapport datées du 14/03 coexistent.

- Nota : Cela peut avoir son importance pour savoir quand contester la VRADE ou quand pourrait être déclenchée la procédure VEI côté expert ou assureur.

La mission d'expertise du suivi de réparation VE
Pour la partie réparation, tout est clairement expliqué ici : securite-routiere.gouv.fr : La procédure véhicule économiquement irréparable (VEI) et la procédure véhicule gravement endommagé (VGE).
Si j'ai bien compris, dans le cas où le propriétaire veut faire réparer sa voiture :
- Le propriétaire mandate un expert qui peut être autre que celui de la première expertise effectuée sous mandat de l'assurance.
- L'expert suit toutes les étapes de la réparation et fait effectuer le contrôle technique final puis rédige son rapport de fin de mission, le "Second rapport d'expertise", qu'il adresse aux autorités pour la levée de l'interdiction de circuler et de l'opposition au transfert de la carte grise et dont il remet une copie au propriétaire ainsi que, si ce dernier en fait la demande, la liste des réparations effectuées et l'origine des pièces remplacées.
Dans notre cas, je pense qu'il est légitime de considérer comme caduque le mandat pour l'expertise de suivi réparation VE qui a été signé le 25/02 par le propriétaire puisque la dernière mouture du rapport de l'expertise effectuée sous mandat de l'assureur n'a été remise que le 24/04.
Je suis certain que l'expert et l'assureur le considèrent toujours valide et donc utilisable pour le suivi des réparations à venir. D'ailleurs, dans son courrier du 24/04, l'assureur dit bien que l'expert (SON expert) attend le feu vert pour lancer la réparation.
- Nota : Je serais "procédurier", je considérerais le formulaire de mandatement comme nul d'emblée puisqu'il cite le texte de l'article L327-5 du Code de la route dans sa version du 13/06/2003 alors qu'il a été modifié le 10/04/2009 lors de la mise en place de la nouvelle procédure VE.
Cette nouvelle procédure a conduit le législateur à modifier de nombreux articles de loi ; pourtant, l'expert dans sa lettre nous informant des conclusion de son expertise fait référence à des termes de textes réglementaires qui sont obsolètes (VGA, feuillets 4 et 5 remis lors retrait carte grise par les FDO [depuis 2009 il n'y a plus de VGA et il n'y a plus que 3 feuillets]).
Ce sont des détails pour certains, pas pour moi ; cela montre de la négligence à tous les niveaux dans ce cabinet d'expert. Il serait bon qu'ils lisent cela : Arrêté du 26 juillet 2011 relatif ...... au maintien de la qualification..... pour les experts en automobile.

Pour le suivi de la réparation, nous prendrons le risque de choisir un autre cabinet d'expertise au hasard. Je suppose qu'il faut le contacter et lui faire part du résultat de la première expertise et du nom du réparateur (on garde le même, on n'a pas le choix, vu l'historique). Il faudra sûrement lui indiquer quel expert est intervenu. Il sera libre de refuser et d'accepter la mission. Le problème qui se pose est sa relation avec l'assureur : paiement des honoraires et évaluation du coût réel des réparations, au cas où il aurait été mal évalué par le premier expert ou venait à monter au cours des réparations.
De plus, dans notre cas, en totale contradiction avec la réglementation, l'assureur prétend que l'expert que nous mandaterons pour le suivi des réparations sera à notre charge (confusion "volontaire"avec une contre-expertise).





Un grand merci aux intervenants bénévoles sur ce site !!!

Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien. Edmund Burke
Re: Expert et assureur se liguent contre l'assuré : Que fair
Bonjour.
Seule réaction à ce jour : l'expert a envoyé hier matin par 2 fois le même rapport que celui déjà envoyé le 24/04 ; toujours par mail, sans un petit mot explicatif... ; ça bugue pas mal dans ce cabinet d'expertise !
Ma fille a envoyé hier un mail au réparateur pour exiger la remise du devis.
Je viens d'envoyer un mail à la LDDA pour demander des conseils : Non responsabilité donc réparer COUTE QUE COUTE ou négocier la cession de "l'épave" contre une indemnité décente.
--------------------------------------------------------------------------
J'ai lu dans un article de l'Argus que la nouvelle directive VE de 2009 a mis les assureurs dans l'embarras en ce qui concerne la cession de l'épave.
En fait, en cherchant plus, j'ai appris qu'à partir du moment où le véhicule a été déclaré VEI, il doit être transféré dans une casse dans un délai de 4 à 10 jours, selon qu'il y ait eu une offre d'indemnisation ou pas. L'assuré a 30 jours pour répondre à l'offre de l'assureur. Ce qui coince, c'est lorsque l'assuré ne souhaite pas céder le véhicule (que ce soit dans le délai de 30 jours ou passé ce délai) et que le véhicule n'a pas été correctement "sauvegardé" par le casseur (pièces disparaissant...). Cela donne des situations cocasses où l'assureur et l'expert sont mal, très mal ! C'est pour cela que l'expert, mandataire de l'assureur, s'empresse d'obtenir le certificat de cession du propriétaire.
Cela me fait penser au sujet ouvert dernièrement par Pascale .
Au fil de mes recherches, je découvre que l'indemnisation en perte totale ne peut se faire que si le certificat de cession a été établi au nom de l'assureur.
Si l'assuré refuse de céder à l'assureur, cela lui permet de vendre son épave en pièces détachées à qui il veut ou en entier à un professionnel agréé. Mais dans ce cas, il ne sera indemnisé que sur la VRADE moins la valeur résiduelle de l'épave.
Dans le cas de cas de ma fille, je constate que :
- le courrier de l'expert du 14/03 n'indiquait que la VRADE (8500 €) et le montant des réparations (8390 €) ; joint à ce courrier, l'expert lui avait "gentiment" préparé un certificat de cession au nom du casseur.
- nous n'avons découvert le montant de la valeur résiduelle (595 €) qu'après avoir obtenu la remise du rapport d'expertise.
Conclusion 1 : en cédant directement son véhicule au casseur et non à l'assureur, elle aurait eu un abattement de 595 € sur la VRADE ; c'est comme si elle s'était mise dans la situation de refus de cession à l'assureur, comme si elle avait gardé son épave pour la vendre au plus offrant, ce casseur en l’occurrence !
En passant, il faut reconnaître qu'une voiture de 2 ans avec un ensemble moteur-boite diesel de 45000 km, nickel, elle pourrait en récupérer plus que 595 € de pièces détachées.... Mais elle ne saurait pas faire.
Conclusion 2 : l'expert est un enf... de première ; mais vu les antécédents, il n'y avait déjà plus de raison d’en douter.
Heureusement que nous avons réussi à faire réviser la VRADE.
Bon vu l'ambiance locale, ma fille commence sérieusement à laisser tomber la réparation et à passer à autre chose.
Seule réaction à ce jour : l'expert a envoyé hier matin par 2 fois le même rapport que celui déjà envoyé le 24/04 ; toujours par mail, sans un petit mot explicatif... ; ça bugue pas mal dans ce cabinet d'expertise !
Ma fille a envoyé hier un mail au réparateur pour exiger la remise du devis.
Je viens d'envoyer un mail à la LDDA pour demander des conseils : Non responsabilité donc réparer COUTE QUE COUTE ou négocier la cession de "l'épave" contre une indemnité décente.
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J'ai lu dans un article de l'Argus que la nouvelle directive VE de 2009 a mis les assureurs dans l'embarras en ce qui concerne la cession de l'épave.
En fait, en cherchant plus, j'ai appris qu'à partir du moment où le véhicule a été déclaré VEI, il doit être transféré dans une casse dans un délai de 4 à 10 jours, selon qu'il y ait eu une offre d'indemnisation ou pas. L'assuré a 30 jours pour répondre à l'offre de l'assureur. Ce qui coince, c'est lorsque l'assuré ne souhaite pas céder le véhicule (que ce soit dans le délai de 30 jours ou passé ce délai) et que le véhicule n'a pas été correctement "sauvegardé" par le casseur (pièces disparaissant...). Cela donne des situations cocasses où l'assureur et l'expert sont mal, très mal ! C'est pour cela que l'expert, mandataire de l'assureur, s'empresse d'obtenir le certificat de cession du propriétaire.
Cela me fait penser au sujet ouvert dernièrement par Pascale .
Au fil de mes recherches, je découvre que l'indemnisation en perte totale ne peut se faire que si le certificat de cession a été établi au nom de l'assureur.
Si l'assuré refuse de céder à l'assureur, cela lui permet de vendre son épave en pièces détachées à qui il veut ou en entier à un professionnel agréé. Mais dans ce cas, il ne sera indemnisé que sur la VRADE moins la valeur résiduelle de l'épave.

- le courrier de l'expert du 14/03 n'indiquait que la VRADE (8500 €) et le montant des réparations (8390 €) ; joint à ce courrier, l'expert lui avait "gentiment" préparé un certificat de cession au nom du casseur.
- nous n'avons découvert le montant de la valeur résiduelle (595 €) qu'après avoir obtenu la remise du rapport d'expertise.
Conclusion 1 : en cédant directement son véhicule au casseur et non à l'assureur, elle aurait eu un abattement de 595 € sur la VRADE ; c'est comme si elle s'était mise dans la situation de refus de cession à l'assureur, comme si elle avait gardé son épave pour la vendre au plus offrant, ce casseur en l’occurrence !
En passant, il faut reconnaître qu'une voiture de 2 ans avec un ensemble moteur-boite diesel de 45000 km, nickel, elle pourrait en récupérer plus que 595 € de pièces détachées.... Mais elle ne saurait pas faire.
Conclusion 2 : l'expert est un enf... de première ; mais vu les antécédents, il n'y avait déjà plus de raison d’en douter.
Heureusement que nous avons réussi à faire réviser la VRADE.
Bon vu l'ambiance locale, ma fille commence sérieusement à laisser tomber la réparation et à passer à autre chose.
Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien. Edmund Burke
Re: Expert et assureur se liguent contre l'assuré : Que fair
Il est parfois mieux de refuser la cession et de revendre soi même le véhicule en tirant un peu plus que la valeur retenue...
Généralement, la valeur de récupération fait suite à un appel d'offre passé auprès des épavistes et autre marchands de véhicules accidentés... Si cette auto a aussi peu de Kms, avec un moteur diesel, il est à nouveau très bizarre de n'avoir eu que 595 euros en AO !!!
A ce tarif là, votre fille n'aura aucun mal à revendre plus cher rien que le moteur qui doit valoir au moins 1000 euros; ce genre d'auto doit pouvoir se vendre entre 1000 et 1500 euros.
Pour le rapport d'expertise envoyé par mail, il faut repondre de suite à ce mail en signalant une nouvelle erreur dans l'envoi et en réclamant le rapport modifié...
Généralement, la valeur de récupération fait suite à un appel d'offre passé auprès des épavistes et autre marchands de véhicules accidentés... Si cette auto a aussi peu de Kms, avec un moteur diesel, il est à nouveau très bizarre de n'avoir eu que 595 euros en AO !!!
A ce tarif là, votre fille n'aura aucun mal à revendre plus cher rien que le moteur qui doit valoir au moins 1000 euros; ce genre d'auto doit pouvoir se vendre entre 1000 et 1500 euros.
Pour le rapport d'expertise envoyé par mail, il faut repondre de suite à ce mail en signalant une nouvelle erreur dans l'envoi et en réclamant le rapport modifié...
Re: Expert et assureur se liguent contre l'assuré : Que fair
Bonsoir Jeanmi
Depuis je suis revenu à la réalité : là bas, les FIAT n'ont pas la cote d'amour, diesel ou pas. Pas plus que les autres italiennes.
Cela explique qu'il y a très peu d'annonces de Punto, pire pour l'Evo 5 portes (comme celle de ma fille). 3 petites années de production de l'Evo, le marché n'a pas été inondé.... Pas facile de monter un dossier "annonces" pour contester la VRADE.
De son côté, le casseur n'aura aucun intérêt à la reconstruire et peu de chances d'avoir un marché juteux avec les pièces.
J'ai justement une question à poser concernant "l'accord réparateur" sur les rapports d'expertise.
Rapport du 22/02 : dégâts estimés à 4730 €, accord réparateur : OUI
Rapport du 14/03 (et les 3 versions qui ont suivi) : dégâts estimés à 8390 €, accord réparateur : NON.
S'agit-il de l'accord que le réparateur donne à réception du document "prise en charge" que l'assureur ou l'expert lui remet ?
Comment expliquer qu'il était d'accord pour le premier montant et plus pour le deuxième, bien que quasi-doublé ?
Est-ce un incident de parcours ou l'indice d'un truc pas net, un de plus (voir mon message précédent : le certificat de cession) ?
Merci !
Lors de la prise de connaissance de cette "Valeur résiduelle" de 595 € (rapport du 14/03), j'ai fait un bond.Jeanmi a écrit :....................Généralement, la valeur de récupération fait suite à un appel d'offre passé auprès des épavistes et autre marchands de véhicules accidentés... Si cette auto a aussi peu de Kms, avec un moteur diesel, il est à nouveau très bizarre de n'avoir eu que 595 euros en AO !!!................
Depuis je suis revenu à la réalité : là bas, les FIAT n'ont pas la cote d'amour, diesel ou pas. Pas plus que les autres italiennes.
Cela explique qu'il y a très peu d'annonces de Punto, pire pour l'Evo 5 portes (comme celle de ma fille). 3 petites années de production de l'Evo, le marché n'a pas été inondé.... Pas facile de monter un dossier "annonces" pour contester la VRADE.
De son côté, le casseur n'aura aucun intérêt à la reconstruire et peu de chances d'avoir un marché juteux avec les pièces.
Les 3 derniers rapports reçus sont strictement identiques ! On peut le relancer pour demander pourquoi il les renvoie à tout bout de champ ; pour le contenu, on laisse tomber, il est aveugle (n'a pas bien vu la voiture et n'a pas dû lire notre courrier que l'assureur n'a pas dû manquer de lui faire suivre...).Jeanmi a écrit :......Pour le rapport d'expertise envoyé par mail, il faut repondre de suite à ce mail en signalant une nouvelle erreur dans l'envoi et en réclamant le rapport modifié...
J'ai justement une question à poser concernant "l'accord réparateur" sur les rapports d'expertise.
Rapport du 22/02 : dégâts estimés à 4730 €, accord réparateur : OUI
Rapport du 14/03 (et les 3 versions qui ont suivi) : dégâts estimés à 8390 €, accord réparateur : NON.
S'agit-il de l'accord que le réparateur donne à réception du document "prise en charge" que l'assureur ou l'expert lui remet ?
Comment expliquer qu'il était d'accord pour le premier montant et plus pour le deuxième, bien que quasi-doublé ?
Est-ce un incident de parcours ou l'indice d'un truc pas net, un de plus (voir mon message précédent : le certificat de cession) ?
Merci !
Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien. Edmund Burke
Re: Expert et assureur se liguent contre l'assuré : Que fair
C'est une question de plus qu'il faut poser soit à l'expert, soit au réparateur, soit les deux...
Re: Expert et assureur se liguent contre l'assuré : Que fair
Bonjour Jeanmi, bonjour aux visiteurs.
S'ils avaient COMMUNIQUÉ dans les règles et selon l'usage dans leur profession, on n'en serait pas là !
Depuis quelques jours, ne plus faire réparer est l'option que ma fille et mon gendre pensent la plus raisonnable. Il y a eu trop de trucs louches pour croire que la réparation va bien se passer. Et imaginez la galère avec ces gugusses si la qualité de la réparation est bâclée (peinture entre autres).
Ils en ont marre et les vacances approchent. Que se passerait-il si la voiture "sortait" de réparation pendant leurs vacances ? Frais de gardiennage, c'est sûr, et à leur charge, c'est sûr.
Ils viennent en vacances en métropole en juin .... pour "montrer" le fiston à la famille ... et qui a échappé à cet accident (ses parents allaient le chercher à la crèche) qui aurait pu lui être fatal, à l'âge de 2 mois 1/2.....
Maintenant, le combat va être de demander à l'expert de justifier que sa VRADE a vraiment était établie à partir d'éléments irréfutables, dont le fameux BILAN TECHNIQUE et les annonces !
Je cherche toujours les textes qui obligent l'expert à répondre à cette demande. J'ai vu sur un site d'assureurs que le bilan technique et sa soutenance auprès de l'assuré étaient indemnisés à 35 % du tarif de référence soit environ 28 €.... (donc se le faire expliquer n'est pas une demande abusive). J'ai vu aussi sur le site de l'ANEA que le bilan technique était l'outil privilégié de ses experts adhérents. Cet expert étant affilié à l' ANEA, le signalement de son refus ne serait pas "diffamatoire".
Nous savons que là encore, l'expert va répondre que nous l'agaçons avec "nos demandes répétées" et qu'il a déjà revu la VRADE. Sauf que sa révision de la VRADE n'est qu'un ajustement suite à la prise en compte de la facture d'achat comme prix de référence au lieu du tarif catalogue d'une Punto de métropole, pas de la même finition en sus (ma fille avait entr'aperçu ce catalogue lors de sa visite coup de poing).
Et il va bien falloir contester le montant de la VRADE puisqu'il n'existe pas de modèle équivalent à cette Punto Evo de fin 2010 - diesel 5 portes 48000 km - à la Réunion pour 10200 €, comme le montrent ces 2 sites régulièrement consultés :
974vo.com
leboncoin.fr/reunion
On ne trouve que des Grande Punto, pas toujours 5 portes, pas toujours la clim (véhicules importés ?) Une garantie parfois de 3 mois seulement et un historique souvent incertain (carnet d'entretien égaré).
C'est pour cela que mes enfants songent à l'importation (coût d'environ 2000 € selon devis) d'un véhicule neuf de métropole. Mon concessionnaire avait deux neuves (1 km) de 2012 pour moins de 10900 € ; elle sont parties en quelques jours....
Avec une VRADE à 12000 €, importer une neuve de 2012 déstockée est jouable. Et bien plus intéressant financièrement que les Grande Punto (puisque pas d'Evo) "équivalentes" locales à 14000 € en occasion.
Autrement, il y a la solution proposée par B. Touxxx du SEI. Proposer une VRADE basée sur un modèle équivalent (EVO) disponible sur le marché de l'occasion métropolitain et incluant les frais d'importation. Chez mon concessionnaire, il y en 4, toutes à 9900 € : 3 sont de finition inférieure (Dynamic) mais plus récentes de 4-5 mois et 1 est une magnifique série limitée My Life de mi-2012, toutes moins kilométrées mais toutes un petit peu "bignées"....On reviendrait à une VRADE d'au moins 12000 €.
Est-ce que cette proposition est recevable (elle correspond à la réalité de la différence du prix du marché occasion entre métropole et Réunion) ?
Peux-tu négocier la VRADE sur la base d'une équivalence partielle (moins "lookée", pas de clim, 3 portes) de quelques Grande Punto de 2010-début 2011 à 14000 € sur le marché local ? (ma réponse perso est OUI).
Doit-on impérativement informer le siège de l'assurance de cette demande, dans le but de l'inciter à proposer une cession amiable du véhicule, cession amiable puisque RIV et non pas cession légale puisque pas VEI – vu formulaires pour ces types d'offres de cession sur site internet d'assureur - ? (ma réponse perso est OUI).
Merci !
Eh oui, hélas. Et une fois de plus, assureur, expert et réparateur vont dire que ma fille les fait ch... pour des broutilles dans le traitement "irréprochable" de son dossier de sinistre et qu'ils n'ont jamais vu un(e) assuré(e) aussi paranoïaque !Jeanmi a écrit :C'est une question de plus qu'il faut poser soit à l'expert, soit au réparateur, soit les deux...
S'ils avaient COMMUNIQUÉ dans les règles et selon l'usage dans leur profession, on n'en serait pas là !
En ce qui concerne le devis, il aurait été répondu à ma fille qu'elle devra se contenter du dernier rapport envoyé le 02/05 via un mail contenant en seul texte d'accompagnement : Montant des dommages : 7732,57 E HT 8389,83 E TTC (au cas où nous ne serions pas capable de déchiffrer le rapport...). Chapeau, la communication et la politesse !Jeanmi a écrit :1/ donc l'auto a été démontée sans l'accord de votre fille et votre gendre...
2/ il y a deux types d'ingrédients différents pour la même voiture...
3/ des éléments redressés ne sont pas prévus en peinture (et pourtant, avec 14 H., il y a de quoi faire)...
4/ toujours pas de devis dans les mains de votre fille qui reste pourtant le seule décisionnaire...
Il se passe effectivement de drôle de choses sur cette île, entre ce carrossier et cet expert...; c'est du grand délire !!!
....................... il faudrait aussi peut-être penser maintenant à ne plus faire réparer cette voiture...
Sur le fond, aucun ordre de réparation n'a été signé par votre fillet ou votre gendre; si le carrossier s'est permis de démonter, c'est son problème; cela serait trop fort s'il vait en plus commandé des pièces.
Depuis quelques jours, ne plus faire réparer est l'option que ma fille et mon gendre pensent la plus raisonnable. Il y a eu trop de trucs louches pour croire que la réparation va bien se passer. Et imaginez la galère avec ces gugusses si la qualité de la réparation est bâclée (peinture entre autres).
Ils en ont marre et les vacances approchent. Que se passerait-il si la voiture "sortait" de réparation pendant leurs vacances ? Frais de gardiennage, c'est sûr, et à leur charge, c'est sûr.
Ils viennent en vacances en métropole en juin .... pour "montrer" le fiston à la famille ... et qui a échappé à cet accident (ses parents allaient le chercher à la crèche) qui aurait pu lui être fatal, à l'âge de 2 mois 1/2.....
Maintenant, le combat va être de demander à l'expert de justifier que sa VRADE a vraiment était établie à partir d'éléments irréfutables, dont le fameux BILAN TECHNIQUE et les annonces !
Je cherche toujours les textes qui obligent l'expert à répondre à cette demande. J'ai vu sur un site d'assureurs que le bilan technique et sa soutenance auprès de l'assuré étaient indemnisés à 35 % du tarif de référence soit environ 28 €.... (donc se le faire expliquer n'est pas une demande abusive). J'ai vu aussi sur le site de l'ANEA que le bilan technique était l'outil privilégié de ses experts adhérents. Cet expert étant affilié à l' ANEA, le signalement de son refus ne serait pas "diffamatoire".
Nous savons que là encore, l'expert va répondre que nous l'agaçons avec "nos demandes répétées" et qu'il a déjà revu la VRADE. Sauf que sa révision de la VRADE n'est qu'un ajustement suite à la prise en compte de la facture d'achat comme prix de référence au lieu du tarif catalogue d'une Punto de métropole, pas de la même finition en sus (ma fille avait entr'aperçu ce catalogue lors de sa visite coup de poing).
Et il va bien falloir contester le montant de la VRADE puisqu'il n'existe pas de modèle équivalent à cette Punto Evo de fin 2010 - diesel 5 portes 48000 km - à la Réunion pour 10200 €, comme le montrent ces 2 sites régulièrement consultés :
974vo.com
leboncoin.fr/reunion
On ne trouve que des Grande Punto, pas toujours 5 portes, pas toujours la clim (véhicules importés ?) Une garantie parfois de 3 mois seulement et un historique souvent incertain (carnet d'entretien égaré).
C'est pour cela que mes enfants songent à l'importation (coût d'environ 2000 € selon devis) d'un véhicule neuf de métropole. Mon concessionnaire avait deux neuves (1 km) de 2012 pour moins de 10900 € ; elle sont parties en quelques jours....
Avec une VRADE à 12000 €, importer une neuve de 2012 déstockée est jouable. Et bien plus intéressant financièrement que les Grande Punto (puisque pas d'Evo) "équivalentes" locales à 14000 € en occasion.
Autrement, il y a la solution proposée par B. Touxxx du SEI. Proposer une VRADE basée sur un modèle équivalent (EVO) disponible sur le marché de l'occasion métropolitain et incluant les frais d'importation. Chez mon concessionnaire, il y en 4, toutes à 9900 € : 3 sont de finition inférieure (Dynamic) mais plus récentes de 4-5 mois et 1 est une magnifique série limitée My Life de mi-2012, toutes moins kilométrées mais toutes un petit peu "bignées"....On reviendrait à une VRADE d'au moins 12000 €.
Est-ce que cette proposition est recevable (elle correspond à la réalité de la différence du prix du marché occasion entre métropole et Réunion) ?
Peux-tu négocier la VRADE sur la base d'une équivalence partielle (moins "lookée", pas de clim, 3 portes) de quelques Grande Punto de 2010-début 2011 à 14000 € sur le marché local ? (ma réponse perso est OUI).
Doit-on impérativement informer le siège de l'assurance de cette demande, dans le but de l'inciter à proposer une cession amiable du véhicule, cession amiable puisque RIV et non pas cession légale puisque pas VEI – vu formulaires pour ces types d'offres de cession sur site internet d'assureur - ? (ma réponse perso est OUI).
Merci !
Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien. Edmund Burke