Oui, les choses avancent. Mais uniquement parce que j'agis : mails hier, appel téléphonique aujourd'hui ... et maintenant je sais qu'il ne faut plus compter sur l'expert et le carrossier.Jeanmi a écrit :Vous voyez que tout doucement, les choses avancent...
Bref, si on doit croire les dires du carrossier, il semble donc que c'est l'expert qui est très très mal dans ce dossier...
Non seulement les deux se permettent de faire démonter le véhicule sans l'accord de la propriétaire, l'expert ne modifie même pas son chiffrage alors qu'il a (semble t il) demandé le démontage, le carrossier va maintenant facturer des frais de garde alors que le véhicule n'est plus transportable,...
C'est le Fête à la Réunion !!!
400 euros un suivi VE (hors frais de contrôle), il va falloir que j'envisage de déménager là bas...; le soleil, la chaleur, les requins (au propre comme au figuré), c'est tout bon........

Au delà des précédentes réticences à remettre les rapports d'expertise et maintenant du refus définitif de remettre les justificatifs de la VRADE (cf. mail de l'expert reçu ce matin), le grief majeur pouvant être fait à l'expert est la non communication des constatations de l'ampleur des dégâts faites suite à un démontage supplémentaire et la non remise à jour du chiffrage des réparations qui en découle.
En effet, les conséquences auraient été désastreuses si nous avions donné l'ordre de réparer en nous fondant sur un chiffrage totalement erroné. Très vite, nous aurions dépassé le plafond de la VRADE et cela aurait permis à l'expert de déclencher la procédure VEI et la cession du véhicule à l'assureur. Une cession dans ce contexte ne nous aurait pas donné autant de marge de manœuvre pour négocier l'indemnité proposée par l'assureur, comparé à une cession proposée dans le cadre d'une procédure RIV (amiable, non obligatoire).
Peut-être que le mutisme de l'expert est calculé pour satisfaire aux exigences de réduction des coûts imposées par l'assureur ou qu'il est complice d'une stratégie bien rodée mise en place par les assureurs pour couper court à toute rébellion de l'assuré... , le résultat étant le même : le véhicule n'est pas réparé et est cédé à vil prix.
Bon, mes propos reposent sur les dires du carrossier. Mais je pense qu'il dit vrai et qu'il a décidé de mettre les pouces parce que l'affaire tournait au vinaigre et qu'il se taisait "par devoir de réserve".
400 € le suivi VGE, c'est exagéré ? Combien est-ce facturé en métropole. A ce tarif-là, c'est de la contre-expertise....
Jeanmi a écrit :........Bref, pour être plus sérieux, il va de soi qu'il ne faut surtout pas faire réparer cette auto car c'est du grand n'importe quoi.
Maintenant, c'est sûr, il ne faut avoir confiance en personne...; laissez faire l'effet aux courriers envoyés et vous verrez bien ce qu'il se passe...


Aussi, ne faudrait-il pas une fois de plus "se fendre" d'une lettre au gestionnaire de sinistre en l'informant des derniers événements tout en prenant la précaution de signaler que cela ne repose que sur les dires du carrossier (il a déposé le train arrière sur demande de l'expert, il a informé l'expert de son incapacité à faire un devis exhaustif et qu'il ne donnait pas suite à la mission de réparer), charge à ce gestionnaire d'en vérifier la véracité et de statuer en toute connaissance de cause. Et surtout copie à la compagnie d'assurance.
Je me demande quand la compagnie d'assurance va-t-elle se décider à réagir, vu l'ampleur du désastre annoncé ?
De toute façon, comme l'a suggéré LF, il va bien falloir demander au gestionnaire de sinistre de nous transmettre le bilan technique de l'expert (et re-re-réclamer les copies des constats pour la Sécu. Soc.) et l'informer du contenu de la lettre du carrossier (puisqu'il n'adressera pas de copie au gestionnaire).
Demain, en principe, réception de cette lettre du carrossier....