Problème suite vente véhicule (fuite crémaillère direction)
Publié : mer. juil. 12, 2006 4:04 pm
Bonjour
J'ai vendu le 26/06/2006, un C.car sur porteur Citroën C25 TD de 1992 avec 61000 KM au compteur. L'acquéreur m'a appelé le 08/07/2006 pour me signaler qu'il avait constaté une fuite sous le C.car (tâche de 15 cm de diamètre environ sur un parking). Après examen par son garagiste, celui-ci a constaté une fuite de liquide hydraulique au niveau de la crémaillère de direction, qui est hors d'usage(dixit). Par ailleurs, il lui a assuré que ce problème est antérieur à l'achat du véhicule et que cette fuite est visiblement ancienne(fuite aux joints de la crémaillère au niveau des soufflets).
J'ai reçu ce jour (12/07), une lettre AR de l'acquéreur avec un devis des réparations (changement de crémaillère de direction) qui se monte à 2740,04 euros. Dans cette lettre, il me demande, soit d'annuler la vente,soit de prendre en charge la totalité des réparations.
Le contrôle technique a été effectué le 14/03/2006. Il y avait juste comme remarque: "Etanchéité moteur" dû à des traces d'huile sur le bloc moteur, vu son âge. Aucune remarque quand à d'éventuelles fuites aux soufflets de direction.
Le 15/05/2006, avant la conclusion de la vente, j'ai fait changer la courroie de distribution sur la demande de l'acquéreur, lors de sa visite le 07/05/2006. ( changement préconisé à 80000KM mais effectué quand même vu l'ancienneté du véhicule ).
Une révision a été effectué à 60000KM. Dans les 2 cas, mon garagiste n'a jamais décelé de fuite au niveau de la crémaillère de direction.
Avant la conclusion de la vente, le véhicule était stationné pendant 2 mois au même emplacement à mon domicile, et là non plus, aucune trace d'huile sur le sol.
Le jour de sa visite, l'acquéreur a examiné le véhicule, aussi bien l'extérieur, le moteur et sous le moteur, sans déceler de fuites.
Que dois-je faire?
Payer la totalité de la réparation, négocier à l'amiable un 50/50 avec l'acquéreur ou ne rien payer du tout.
Est ce qu'une fuite au niveau des joints de crémaillère peut être dû au vieillissement auquel cas ce serait un vice de vétusté qui ne pourrait être considéré comme vice caché?
Est ce que je ne peux pas invoquer le fait qu'un véhicule d'occasion présente un certain état d'usure et qu'il serait fort possible qu'après l'achat, certaines pièces dites d'usure soient à changer sans pouvoir en exiger la prise en charge par le vendeur?
Ou alors, la fuite ne serait elle pas de sa responsabilité, car j'ai lu dans une revue technique qu'il ne faut pas rester plus de 5 secondes avec le volant en butée car cela risque de détériorer les joints de crémaillère. (source)
Dans l'attente d'une réponse, merci par avance.
Jean-michel
J'ai vendu le 26/06/2006, un C.car sur porteur Citroën C25 TD de 1992 avec 61000 KM au compteur. L'acquéreur m'a appelé le 08/07/2006 pour me signaler qu'il avait constaté une fuite sous le C.car (tâche de 15 cm de diamètre environ sur un parking). Après examen par son garagiste, celui-ci a constaté une fuite de liquide hydraulique au niveau de la crémaillère de direction, qui est hors d'usage(dixit). Par ailleurs, il lui a assuré que ce problème est antérieur à l'achat du véhicule et que cette fuite est visiblement ancienne(fuite aux joints de la crémaillère au niveau des soufflets).
J'ai reçu ce jour (12/07), une lettre AR de l'acquéreur avec un devis des réparations (changement de crémaillère de direction) qui se monte à 2740,04 euros. Dans cette lettre, il me demande, soit d'annuler la vente,soit de prendre en charge la totalité des réparations.
Le contrôle technique a été effectué le 14/03/2006. Il y avait juste comme remarque: "Etanchéité moteur" dû à des traces d'huile sur le bloc moteur, vu son âge. Aucune remarque quand à d'éventuelles fuites aux soufflets de direction.
Le 15/05/2006, avant la conclusion de la vente, j'ai fait changer la courroie de distribution sur la demande de l'acquéreur, lors de sa visite le 07/05/2006. ( changement préconisé à 80000KM mais effectué quand même vu l'ancienneté du véhicule ).
Une révision a été effectué à 60000KM. Dans les 2 cas, mon garagiste n'a jamais décelé de fuite au niveau de la crémaillère de direction.
Avant la conclusion de la vente, le véhicule était stationné pendant 2 mois au même emplacement à mon domicile, et là non plus, aucune trace d'huile sur le sol.
Le jour de sa visite, l'acquéreur a examiné le véhicule, aussi bien l'extérieur, le moteur et sous le moteur, sans déceler de fuites.
Que dois-je faire?
Payer la totalité de la réparation, négocier à l'amiable un 50/50 avec l'acquéreur ou ne rien payer du tout.
Est ce qu'une fuite au niveau des joints de crémaillère peut être dû au vieillissement auquel cas ce serait un vice de vétusté qui ne pourrait être considéré comme vice caché?
Est ce que je ne peux pas invoquer le fait qu'un véhicule d'occasion présente un certain état d'usure et qu'il serait fort possible qu'après l'achat, certaines pièces dites d'usure soient à changer sans pouvoir en exiger la prise en charge par le vendeur?
Ou alors, la fuite ne serait elle pas de sa responsabilité, car j'ai lu dans une revue technique qu'il ne faut pas rester plus de 5 secondes avec le volant en butée car cela risque de détériorer les joints de crémaillère. (source)
Dans l'attente d'une réponse, merci par avance.
Jean-michel