
Bonjour à tous
Dernier rebondissement : j'ai reçu un avis de passage d'un huissier à mon domicile, pour aller retirer à son étude un courrier.
Ce que je fais le 4 décembre 2009.
C'est une assignation par devant le tribunal de grande instance de lyon, datée du 3 décembre, déposée par un avocat de l'acheteur.
Cette assignation me signifie que j'ai 15 jours à compter de cette date pour prendre un avocat afin qu'il me représente dans cette affaire. Sans réponse de ma part un jugement sera rendu sur les seuls faits apportés par la partie adverse.
Cette partie demande : le remboursement du camping-car soit 28000€, il demande 10000€ pour privation de jouissance (alors qu'il est parti en vacances tout l'été 2008 avec + montage d'accessoires) et 1000€ sur le fondement de l'article 700 CPC (???).+ les frais de procédure.
sympa non???
Le concessionnaire chez qui l'expertise contradictoire a été réalisée en décembre 2008 a établi un devis sur la base de 5223.53€. Donc moi j'avais donc envisagé de partager cette somme en 3 d'où ma proposition amiable de 1800€. Il serait juste que le centre de contrôle technique paye une partie et l'acheteur une autre.
Qu'en pensez-vous ??? Je m'adresse surtout à Jeanmi qui a suivi mon dossier depuis le début sur ce forum.
Pourquoi l'acheteur s'acharne-t-il ainsi???
Si dès le passage du contrôle technique que j'ai fait réalisé par le centre NORISKO, j'avais été au fait de ce défaut, je l'aurai fait réparer.
De plus, j'ai déjà consenti une remise de 1000€ pour que l'acheteur fasse réaliser la révision qui approchait... enfin bref!!! je pense que cette personne a peut-être des difficultées et qu'elle cherche par tous les moyens à se renflouer...
Que dois-je penser de cette assignation???
Pourquoi devrais-je verser 10000€ pour privation de jouissance??? quand l'acheteur m'a prévenu par téléphone une semaine aprè la vente de ce problème, je lui ai dit d'aller chez le concessionnaire AUTOSTAR à ST PRIEST afin d'obtenir un diagnostic : il m'a répondu qu'il s'en occuperait après ses vacances fin août, début septembre 2008 et que cela ne l'empêcherait de rouler en toute sécurité, ce que m'a confirmé le concessionnaire et également son contrôle technique volontaire, car le défaut constaté n'est pas soumis à une contre-visite.
Qu'en pensez-vous ???
Cordialement.