Ben, justement, un juge pourra tout à fait lui dire que, quand on achète un véhicule, on prend le temps et les précautions élémentaires qu'il faut. Ce qui, en tout cas, atténuerait votre responsabilité, si responsabilité il y avait.liline a écrit : Merci beaucoup pour vos réponses. En ce qui concerne l'essai, l'acheteur l'a juste testé en ville avec mon mari mais pas sur voie rapide car ils n'avaient plus trop le temps (mon mari lui a réinstallé l'autoradio, gonflé les pneus, ils ont été ensemble au controle technique, l'acheteur habitant en banlieue opposée il ne voulait pas trop trainé pour rentrer).
Et pour invoquer le "vice caché" il y a d'autres clauses que votre acheteur aura du mal à démontrer (sans compter l'observation de mifranc !). Le défaut doit être pré-existant à la vente (et non pas "couvant sous la cendre"), il ne doit pas être décelable par un examen à la portée du commun des mortels (essai du véhicule jusqu'aux allures autorisées par la loi...), etc...
Et il faut encore distinguer, à mon avis, un "vice caché" imputable au vendeur (vieillissement anormal connu du vendeur et caché à l'acheteur, dû à un défaut d'entretien, par exemple) et un "vice caché" imputable au constructeur (vieillissement anormal "tout court"). A l'évidence, votre problème relèverait plutôt du 2ème cas de figure.
Au fait, pourquoi votre acheteur ne va-t-il donc pas chez un concessionnaire Chrysler ? Normalement, quand on a un litige de ce genre, on s'adresse à ceux qui sont censés connaître le mieux le sujet, non ?
Bon courage (et ne vous laissez pas faire)...
Et prenez une bonne tisane, ce soir !
(voir mes conseils à Sylvia dans un sujet un peu plus bas...)


